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1 novembre, 2021
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7 novembre, 2021
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Les membres du conseil d’administration de l’AFOCSC sont heureux de reconnaitre le travail et le dévouement des conseillères et conseillers scolaires suivants pour leurs années de service en éducation catholique francophone en Ontario :
Diane Corriveau
Conseil scolaire catholique Franco – Nord
Sergine Rachelle Bouchard
Conseil scolaire de district catholique de l’Est ontarien
Un comité sur la pénurie du personnel a finalement été mis en place après plusieurs mois de pression et d’attente. Un premier projet pilote a été mis en place par le ministère de l’Éducation pour attirer des enseignants de la France. Ce projet pilote implique le recrutement d’enseignants/étudiants de l’Institut national supérieur du professorat et de l’éducation (INSPE) Aix-Marseille. L’AFOCSC s’est impliquée avec d’autres partenaires dans la mise en place de ce projet pour pouvoir attirer des enseignants français en Ontario. De plus, une formation accélérée en français à l’enseignement en éducation technologique a été réinstaurée par le gouvernement à l’Université d’Ottawa.
Bien qu’il s’agisse de pas dans la bonne direction, il sera très important de soulever l’enjeu auprès du gouvernement, de nos décideurs, afin que plusieurs des autres mesures proposées soient mises en place rapidement pour augmenter de façon significative le nombre d’enseignants francophones catholiques en Ontario.
Un comité sur la pénurie du personnel a finalement été mis en place après plusieurs mois de pression et d’attente. Un premier projet pilote a été mis en place par le ministère de l’Éducation pour attirer des enseignants de la France. Ce projet pilote implique le recrutement d’enseignants/étudiants de l’Institut national supérieur du professorat et de l’éducation (INSPE) Aix-Marseille. L’AFOCSC s’est impliquée avec d’autres partenaires dans la mise en place de ce projet pour pouvoir attirer des enseignants français en Ontario. De plus, une formation accélérée en français à l’enseignement en éducation technologique a été réinstaurée par le gouvernement à l’Université d’Ottawa.
Bien qu’il s’agisse de pas dans la bonne direction, il sera très important de soulever l’enjeu auprès du gouvernement, de nos décideurs, afin que plusieurs des autres mesures proposées soient mises en place rapidement pour augmenter de façon significative le nombre d’enseignants francophones catholiques en Ontario.
La gestion à distance de l’équipe et les ajustements requis pour fonctionner efficacement en mode de pandémie nous ont permis d’approfondir et de développer notre modèle de leadership bienveillant, qui est une des valeurs opérationnelles de l’AFOCSC, un principe qui repose principalement sur la justice. Une approche de leadership qui veille aux intérêts des collaborateurs autant qu’à ceux de l’organisation. Ça demande de l’empathie, de la lucidité, de la générosité, mais aussi du courage. Grâce à notre gouvernance équitable et authentique, nous avons espoir que tous se seront sentis fortifiés à la fin de cette période difficile de pandémie et que l’AFOCSC en sera plus dynamique et agile que jamais.
Ce rapport qui vous est présenté en format web marque, nous l’espérons, la transition du modèle virtuel de notre AGA vers un retour des activités traditionnelles de l’Association. La majorité des activités de l’AFOCSC se dirige progressivement vers des activités en personne. Quoique notre bureau continuera de fonctionner en mode hybride de télétravail, les rencontres du Conseil d’administration et ses divers comités de travail reprendront dès juin en présentiel.
Il est important de saluer la résilience de notre équipe ainsi que des membres du CA pour leur présence constante, leur participation créative et leur écoute des besoins de l’organisation.
Nous continuons l’amélioration de notre parc d’équipements informatiques, le transfert de la gestion de nos documents en mode infonuagique, l’élargissement nos logiciels de travail à distance, de collaboration en ligne, de communication et marketing et bien plus. Nous avons maximisé les plateformes de télétravail telles que Teams, Zoom et Google Meet pour nous assurer que chaque membre du personnel était en communication constante avec tous les membres de l’équipe pour maintenir la dynamique. Des rencontres régulières nous ont permis de nous tenir à jour sur l’évolution des divers dossiers et pour maintenir la cohésion de l’équipe.
L’année 2021-2022 en fut une très dynamique. La situation de crise sanitaire a fait que notre bureau est demeuré en mode virtuel presque toute l’année, forçant le télétravail, à l’exception d’un retour temporaire de septembre à décembre 2021. Souhaitons que les effets de la pandémie soient une chose du passé et que nous n’ayons pas à revenir en arrière !
Les élections d’octobre 2022 se pointent le bout du nez et à cet effet, l’AFOCSC a tenu 3 séances de formation en février 2022 en mode virtuel, pour les conseillères et conseillers scolaires en poste en préparation pour cet exercice démocratique. L’enregistrement et les documents de référence sont disponibles sur le site de l’AFOCSC. Nos membres ont participé de façon active aux événements.
Une formation dirigée vers les personnes intéressées à devenir candidate et candidat aux élections intitulé « Façonner l’avenir » s’est également tenue en avril et mai. Séances d’information de l’AFOCSC avec Conscience catholique du Diocèse de Toronto et entre autres en collaboration avec Parents Partenaires en Éducation — PPE.
L’Association fournit des efforts pour intéresser, des parents de jeunes familles, des candidats issus de la diversité et autres candidats et candidates qui voudraient se présenter aux prochaines élections scolaires et à cet effet une dernière ronde de formation a été mise en place pour le mois de juin en collaboration avec l’ACÉPO et avec le Mouvement ontarien des femmes immigrantes et francophones, le MOFIF. Ce programme de préparation aux élections sera livré par une équipe de formateurs spécialisée.
Pour une deuxième année, la gestion de la pandémie par le gouvernement, les besoins de distanciation requis par la santé communautaire, l’impossibilité d’accéder à Queens Park a eu un effet direct sur nos efforts de démarchage. Les importantes journées et occasions de rencontres et de réseautages avec les fonctionnaires, les députés et les ministres ont été remplacées par des visioconférences moins productives et parfois même frustrantes, malgré tout certains progrès ont été réalisés.
L’AFOCSC a tenu quelques rencontres avec le ministre de l’Éducation sur l’impact croissant de la pandémie dans nos écoles, sur nos succès en apprentissage à distance et sur nos besoins croissants dans le dossier des immobilisations. Les dossiers avancent et nous continuons nos représentations sur une base régulière. Des rencontres en format Town Hall virtuel avec des députés de chaque parti politique sur des sujets d’intérêts pour nos conseils scolaires ont permis d’établir des dialogues sérieux, de solidifier nos relations et de mettre nos besoins de l’avant.
Nous avons créé, pour vous, une série de dix courtes capsules pour vous faire mieux connaitre l’importance des conseils scolaires, leurs rôles et responsabilités et l’aspect vital de l’apport des conseillères et conseillers scolaires à la croissance et au dynamisme des conseils scolaires de langue française en Ontario.
Une série de capsules que vous pourrez visionner et partager à partir de notre chaine YouTube, nous vous parlerons de l’histoire de l’éducation en français en Ontario, des conseils scolaires et de leur création du système scolaire catholique de langue française et bien plus…
La campagne a été introduite progressivement en début d’année. Elle vise à mieux faire connaitre notre association, nos conseils scolaires catholiques de langue française, mais surtout le rôle majeur que jouent les conseillères et conseillers scolaires au niveau de la gouvernance locale de nos institutions et dans notre démocratie provinciale.
La pandémie continue d’être un dossier actif pour l’association même si les mesures de prévention ont diminué, car son impact sur nos conseils scolaires catholiques de langue française est des plus significatif. Encore une fois dans la dernière année, la majorité des communications de l’AFOCSC ont traité de nombreux enjeux entourant la COVID-19 et les mesures temporaires ou permanentes mises en place pour assurer un environnement sécuritaire pour tous. L’AFOCSC a rapidement compris que la pandémie amplifiait l’urgence d’autres dossiers importants tels, entre autres, la pénurie des enseignantes et enseignants, les besoins en immobilisation, les défis technologiques et maintenant les défis soulevés par la récupération de l’apprentissage et des acquis sociaux perdus pour nos élèves et notre personnel. Nous avons saisi toutes les occasions pour souligner la position et les besoins des conseils scolaires catholiques de langue française sur toutes nos plateformes et par tous nos moyens de communication.
L’AFOCSC s’est activée davantage sur chacune de ses plateformes sociales, notamment Twitter, Facebook et maintenant Instagram. C’est en partie, grâce aux réseaux sociaux et au partage d’information constant avec nos partenaires, que nous avons réussi à maintenir le pouls des divers dossiers médiatiques.
Les activités en personne ont repris aux bureaux de l’AFOCSC qui a adopté une approche de travail en mode hybride de trois jours semaine au bureau et deux journées à domicile. Ce retour au bureau, permet une meilleure coordination des projets, de solidifier l’esprit d’équipe et d’offre une plus grande flexibilité dans l’horaire de travail du personnel de l’Association.
Malgré le retour progressif à des activités en présentiel, certains changements se sont installés et les habitudes acquises au cours des deux dernières années dans l’utilisation des plateformes de réunion en ligne et la limitation des déplacements pour des rencontres. Il n’en demeure pas moins que tous sont heureux de commencer à se revoir face à face!
La pandémie étant demeurée une réalité dans la dernière année, l’AFOCSC a continué d’appuyer ses conseils scolaires membres au niveau des impacts sur les relations de travail avec les employés en fournissant de l’appui technique et des avis juridiques, lorsque nécessaire, sur l’application des conventions collectives centrales dans ce contexte exceptionnel.
Au cours de cette période, la situation est demeurée sous contrôle, les autorités multipliant les appels à la vaccination des élèves et de tout le personnel enseignant, tout en améliorant l’accès aux tests de dépistage de la Covid-19 et en multipliant l’installation de filtres HEPA dans une majorité de locaux.
Le taux d’absentéisme du personnel est à la hausse et continue d’augmenter de façon importante, créant de ce fait des pressions pour maintenir les classes et parfois des écoles ouvertes. Avec la fin de l’hiver, le retour à un mode d’enseignement en présentiel a repris sa place. Malgré ce retour à la « normale », il est clair que la pandémie a eu des effets dévastateurs sur le bien-être des élèves et du personnel.
Il faudra du temps et de grands efforts de soutien pour rétablir la situation et permettre à nos élèves et notre personnel de récupérer les retards, se rétablir de la fatigue accumulée et recréer les liens perdus durant ces mois d’épreuves pandémiques. Le plan d’action du gouvernement déposé par ministère à la mi-février 2022 propose au départ, 5 volets qui doivent voir le jour durant l’année scolaire 2022-2023 :
Discussions avec les associations de directions et directions adjointes — après plusieurs mois de discussions, l’AFOCSC et les autres associations de conseils/conseillers ont signé une entente de principe en décembre 2021. Cette entente a été approuvée par les parties et la Couronne en février 2022. Avec l’appui considérable de ses conseils scolaires membres, l’AFOCSC a négocié des conditions de travail qui assurera une éducation francophone catholique de qualité pour ses élèves et de bonnes relations de travail positives pour les directions et directions adjointes.
Une nouveauté au niveau des relations de travail pour la prochaine ronde, le personnel du Consortium Centre Jules-Léger seront intégrés aux ententes qui seront négociées par les associations. L’AFOCSC a travaillé de concert avec les autres organisations impliquées afin de permettre une transition des groupes d’employés syndiqués et leurs conventions collectives respectives vers les conventions collectives centrales maintenant applicables au CCJL. Ce processus se continue dans la prochaine année afin d’intégrer le CCJL dans les conventions collectives centrales déjà existantes en province.
Nous sommes donc en route pour le début d’une nouvelle ronde de négociation au cours de l’été et de l’automne 2022.
60A : Conseil scolaire catholique de district des Grandes Rivières
60B : Conseil scolaire catholique Franco-Nord
61 : Conseil scolaire catholique Nouvelon
62 : Conseil scolaire de district catholique des Aurores boréales
63 : Conseil scolaire catholique Providence
64 : Conseil scolaire catholique MonAvenir
65 : Conseil scolaire de district catholique de l’Est ontarien
66 : Conseil des écoles catholiques du Centre-Est
66 : Consortium Centre Jules-Léger
Les membres du conseil d’administration de l’AFOCSC sont heureux de reconnaitre le travail et le dévouement des conseillères et conseillers scolaires suivants pour leurs années de service en éducation catholique francophone en Ontario :
Daniel Boudria
CEC Centre-Est
Isabelle Charbonneau
CSCD Grandes Rivières
Daniel Grzela
CSCD Grandes Rivières
Lynn Génier‑Ouellette
CSCD Grandes Rivières
Roger Grégoire
CSCD Grandes Rivières
L’AFOCSC a aussi démarré un processus de réorganisation de son site Web afin de le rendre plus convivial et dynamique. Ce site deviendra un centre de ressources et d’informations pour nos conseillères et conseillers scolaires ainsi que pour nos partenaires politiques. Ce travail se poursuivra au courant de l’année 2021 et sera disponible dès la prochaine rentrée scolaire.
La pandémie était le dossier le plus significatif. Dans la dernière année, la majorité des communications de l’AFOCSC ont traité de nombreux enjeux entourant la COVID-19 et son impact sur nos conseils scolaires catholiques de langue française. Cependant, l’AFOCSC a rapidement compris que la pandémie amplifiait l’urgence d’autres dossiers importants tels, entre autres, la pénurie des enseignantes et enseignants, les besoins en immobilisation et les défis technologiques. Nous avons saisi toutes les occasions pour manifester la position des conseils scolaires catholiques de langue française sur toutes nos plateformes et par tous nos moyens de communication.
En raison de la pandémie, le calendrier d’activités de l’AFOCSC, de ses membres et de ses représentants a dû s’adapter à une nouvelle réalité. Par manque de rassemblements en personne, l’AFOCSC a maintenu sa participation dans une variété d’activités communautaires et a renforcé sa présence en ligne ainsi que la fréquence de ses communications et la rapidité avec laquelle celles-ci étaient diffusées.
L’AFOCSC s’est activée davantage sur chacune de ses plateformes sociales, notamment Twitter et Facebook. C’est en partie, grâce aux réseaux sociaux et au partage d’information constant avec nos partenaires, que nous avons réussi à maintenir le pouls des divers dossiers médiatiques.
La gestion de la pandémie par le gouvernement, les besoins de distanciation requis par la santé communautaire, l’impossibilité d’accéder à Queens Park a eu un effet direct sur nos efforts de démarchage. Les importantes journées et occasions de rencontres et de réseautages avec les fonctionnaires, les députés et les ministres ont été remplacées par des visioconférences moins productives.
Malgré cela, l’AFOCSC a tenu quelques rencontres avec le ministre de l’Éducation sur l’impact de la pandémie dans nos écoles, sur nos succès en apprentissage à distance et sur nos besoins croissants dans le dossier des immobilisations. Les dossiers avancent lentement et nous continuons nos représentations sur une base régulière. Nous avons également tenu pour la première fois, les 7 et 8 décembre 2020, un forum en ligne (Town Hall) avec des députés de chaque parti politique sur des sujets d’intérêts pour nos conseils scolaires. C’est une formule que nous reprendrons encore au mois de juin 2021.
Des causes juridiques dans d’autres provinces ont retenu notre attention. D’abord, la Cour suprême du Canada a tranché en faveur du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique (CSF) et de la fédération des parents francophones dans la cause sur le financement de l’éducation en français. Les juges forcent la province à faciliter la construction de plusieurs écoles francophones, en vertu d’un droit pour la minorité à une expérience éducative équivalente à celle de la majorité anglophone. Puis, en Saskatchewan, le gouvernement a été débouté dans l’affaire Théodore/Good Spirit sur le droit des écoles catholiques et publiques à un financement équitable, quelle que soit la confession des élèves qui les fréquentent. Des batailles longues et ardues. Le Manitoba propose de dissoudre tous les conseils scolaires — à l’exception du conseil scolaire francophone protégé par la constitution — et de les remplacer par un conseil consultatif provincial et des conseils communautaires nommés par le gouvernement pour chaque école. La province de Québec a également procédé dans ce sens l’an dernier. Il est navrant de voir des gouvernements éliminer les institutions démocratiques qui, depuis des décennies, veillent au bien-être et à la saine gestion des élèves de leurs communautés, pour les remplacer par des membres nommés par le gouvernement. C’est une approche inacceptable qui ne procure aucune économie systémique, qui détourne l’indépendance de la gestion scolaire des communautés et qui encourage une distanciation sérieuse face aux besoins des élèves et de leurs familles. L’AFOCSC et ses membres seront très impliqués dans ce dossier au cours des prochains mois pour éviter que cela ne se produise en Ontario.
Cette dernière année fut très dynamique. Deux membres du personnel nous ont quittées et deux nouveaux membres se sont ajoutés à l’équipe. La situation de crise sanitaire a fait que notre bureau est demeuré en mode virtuel toute l’année en télétravail.
Nous avons amélioré notre parc d’équipements informatique, transféré la gestion de nos documents au mode infonuagique, élargi nos logiciels de travail à distance et de collaboration en ligne, et bien plus. Nous avons maximisé les plateformes de télétravail telles que Teams, Zoom et Google Meet pour nous assurer que chaque membre du personnel était en communication constante avec tous les membres de l’équipe pour maintenir la dynamique. Des rencontres quotidiennes ont permis de se tenir à jour sur l’évolution des dossiers et pour maintenir la cohésion de l’équipe.
Ce rapport marque la deuxième AGA virtuelle de l’AFOCSC. Toutes les activités de l’AFOCSC se sont tenues, se tiennent et se tiendront pour encore quelque temps en mode télétravail. Il en a été de même pour les rencontres constructives du Conseil d’administration et ses divers comités de travail. Il n’est pas toujours facile d’évoluer dans ce nouveau normal, mais il est important de saluer la résilience de notre équipe ainsi que des membres du CA pour leur présence constante et leurs écoute des besoins de l’organisation.
Cette période difficile nous a permis d’approfondir et de développer notre modèle de leadership bienveillant, et qui est une des valeurs opérationnelles de l’AFOCSC un principe qui repose principalement sur la justice. Une approche de leadership qui veille aux intérêts des collaborateurs autant qu’à ceux de l’organisation. Ça demande de l’empathie, de la lucidité, de la générosité, mais aussi du courage. Grâce à notre gouvernance équitable et authentique, nous avons espoir que tous sortiront fortifiés de cette période difficile de pandémie et que l’AFOCSC en sera plus dynamique et agile que jamais
Après plusieurs mois de négociation, les ententes centrales avec l’AEFO pour le personnel enseignant régulier et le personnel enseignant suppléant ainsi qu’avec la FEESO pour le personnel de soutien administratif, technique et éducatif se sont réglées en mai dernier avec une ratification desdites ententes. Les ententes centrales avec le SCFP pour le personnel de soutien administratif, technique et éducatif ainsi qu’avec l’ATEO, représentant aussi le personnel de soutien administratif, technique et éducatif, avaient été ratifiées en novembre 2019 et en février 2020 respectivement. Avec l’appui considérable de ses conseils scolaires membres, l’AFOCSC a négocié des conditions de travail qui assurera une éducation francophone catholique de qualité pour ses élèves et de bonnes relations de travail positives pour le personnel et avec les différents syndicats.
L’un des éléments importants de la nouvelle entente centrale avec l’AEFO a été la création d’un comité devant travailler sur la question de pénurie du personnel enseignant francophone. Durant la dernière année, ce comité a travaillé sur des recommandations qui ont été présentées au ministre de l’Éducation, en décembre 2020, afin de mettre en place des solutions permettant de répondre à la problématique grandissante de la pénurie du personnel enseignant pour les conseils francophones de la province.
Afin de préparer un retour à l’école sécuritaire en septembre 2020 pour les élèves, l’AFOCSC et ses conseils scolaires membres ont travaillé avec le gouvernement, les bureaux de santé et les différents syndicats pour la mise en place de plans assurant la santé et la sécurité des élèves et des membres du personnel. Tout au long de l’année, les conseils scolaires ont dû faire preuve de vigilance et de flexibilité afin de s’assurer d’avoir en place les mesures les plus sécuritaires pour toutes et tous. L’AFOCSC est demeuré en appui aux conseils scolaires pour répondre aux nouvelles réalités et l’impact de ces dernières sur les relations de travail. De plus, afin d’appuyer l’effort collectif et combler les besoins de personnel des différents secteurs assurant les services essentiels pendant la période initiale de la pandémie, l’AFOCSC a collaboré avec les autres associations de conseils/conseillers scolaires, le gouvernement et les syndicats afin de créer un modèle de processus permettant aux conseils scolaires de redéployer leur main d’œuvre disponible tout en assurant que ces derniers conservent leur capacité d’offrir une éducation de qualité à leurs élèves et un milieu d’apprentissage sécuritaire.
