Nous voilà déjà le 1er mai, et la fin de l’année scolaire approche à grands pas. Les vacances et les journées chaudes ne tarderont pas à arriver. Le temps file à toute vitesse lorsque nous sommes occupés, et il ne nous reste que 23 jours avant notre congrès annuel. Nos efforts sont pleinement concentrés sur les préparatifs pour garantir un événement mémorable et riche en activités.
Notre congrès représente une occasion unique de nous réunir en personne, d’échanger nos idées et nos préoccupations. Il nous permet de mieux comprendre les défis auxquels font face les autres conseils scolaires. De plus, c’est une opportunité de partager notre passion pour l’éducation, de s’exprimer en français, tout en partageant notre engagement envers notre foi et notre communauté.
Et ainsi, je souhaite mettre l’accent sur les relations que nous établissons en tant que conseillers/conseillères scolaires. Il est crucial non seulement de rester en contact, mais aussi d’explorer de nouvelles collaborations avec des représentants du gouvernement. Un sujet pertinent que nous avons eu la chance d’explorer dans la formation sur l’engagement politique organisée par l’AFOCSC en collaboration avec l’AFO. Une partie des ressources de la formation sont désormais disponibles sur notre site internet, et je vous invite à les consulter pour ceux qui n’ont pas pu y participer. Vous y trouverez le PDF des éléments visuels et une vidéo de l’enregistrement de la formation, et la trousse d’outils sera disponible sous peu.
En parlant de changements, je souhaite ajouter aux annonces faites par le ministre de l’Éducation dimanche dernier. De nombreux nouveaux règlements entreront en vigueur à la rentrée de septembre 2024. Nous devons donc nous préparer à les accueillir et à fournir le soutien nécessaire à notre personnel, aux parents et aux élèves. Il est de notre avis que minimiser l’utilisation des téléphones portables et des réseaux sociaux favorise l’éducation de nos élèves. Nous sommes en accord pour éradiquer la consommation du vapotage ou autres stupéfiants dans nos écoles, cela en offrant du soutien à ceux qui sont affectés. Il est essentiel de promouvoir des solutions qui encadrent les élèves confrontés à des problèmes de dépendance, en les éduquant sur le sujet, à trouver d’autres moyens de gérer leur stress et en les encourageant à demander de l’aide. Tout pour qu’ils s’investissent dans leur éducation sans recourir aux stupéfiants.
Enfin, j’espère que le discours du Ministre Lecce a suscité une réflexion sur la réalité à laquelle nos élèves sont confrontés. Les choses évoluent rapidement et notre vision doit demeurer la même : le bien-être et l’apprentissage de nos élèves sont au cœur de nos préoccupations.
Je vous encourage donc à poursuivre la conversation et à travailler ensemble pour relever les défis qui se présentent à nous. On se voit prochainement au congrès pour en discuter !